@Dante : Bien sûr que cela peut jouer, mais dans les mêmes proportions ? Je ne pense pas...
Déjà parce que rien que pour la série la plus regardée, ce n’est pas que ça non plus et un tri est donc possible, ensuite parce que les autres exemples sont suggérés et que le poids des images n’est donc pas le même que des sites X centrés exclusivement là dessus.
Enfin le critère de l’intention diffère aussi : je ne regarde pas Game Of Thrones pour ça, par contre les films X...
Pour le second point bien sûr que les deux sont réduits à l’état d’objet, mais la femme encore plus que l’homme et je ne dis pas ça par effet de mode.
C’est la femme qui est prise par plusieurs gars en moyenne et pas l’inverse. Comme par hasard le nombre de scandales est plus élevé chez les femmes aussi. Pas un hasard non plus à mon avis. Beaucoup abusent d’une certaine forme de naïveté chez des nouvelles recrues aussi...
Le fait que ces pratiques soient courantes et que tu n’aies pas l’impression de rabaisser ta conjointe ne les rends pas moins dégradantes. C’est contredit par la définition même de l’acte de soumission. Si de telles pratiques ne te choquent pas, je comprends mieux en effet pourquoi le X ne te dérange pas plus que ça...
Le fait que tu aies des femmes qui aiment ça ne change strictement rien à la vision déplorable que cela transmet.
Beaucoup de jeunes qui n’ont pas toujours eu la chance d’avoir une éducation encadrée vont vraiment penser que la femme c’est ça (jeunes des cités).
@Meffisto : Je t’assure, tu te trompes.
Déjà parce «qu’une telle à dit» n’en fait pas une vérité même si elle est sincère je n’en doute pas. Ça, c’est ce que la société veut nous faire croire et je peux t’assurer que la soit disante inévitable et insurmontable frustration liée à l’absence de relations sexuelles est un mensonge. J’en suis la preuve vivante... Et je suis loin d’être seul...
Cela n’est pas qu’une question de frigidité.
Après il ne s’agit pas de dire que le couple ne doit pas avoir de relations mais que cela n’est pas tout. C’est une question d’éducation mais aussi de la place de l’amour dans le couple par rapport à la sexualité et que cela ne doit pas se faire au détriment de l’amour et si c’est le cas alors on pourra s’interroger sur la nature de cette union. Des couples qui ne sont pas infidèles et qui ont des relations sexuelles «moindres» il y en a de manière représentative dans la population.
@grigri : C’est NeoBob qui a évoqué cette comparaison. Je n’ai fait qu’y répondre.
Les 2 peuvent avoir des conséquences similaires oui. Mais la nature et l’usage rendent cette comparaison peu pertinente à mon sens.
Un usage modéré de l’alcool (1 ou 2 verres de vins par jour) peut-être bénéfique pour la santé et rentrer dans une hygiène de vie. Il s’agit aussi d’une boisson qui comble un besoin primaire, rappelons le.
À valeur égale pour du X, on est dans un usage purement accessoire qui peut avoir un impact psychologique de manière direct que ne présente pas l’alcool. Rappelons que ces images nous marquent intérieurement, de manière inconsciente et négativement ce que ne fait pas l’alcool puisque cela n’émet pas d’image : à petite dose donc l’impact n’est pas le même.
Pour l’alcool, tu serais surpris qu’une étude montre que l’impact est nul dans les divorces lorsque les 2 conjoints boivent :
Dommage que tu n’aies pas lu l’ensemble. La dernière étude à plus de sens à la lumière des autres car elles se complètent.
À la page 3 le rapport se réfère à des études déjà établies qui vont sur 30 ans expliquant plusieurs causes possibles :
- baisse de qualité des rapports suite à une attente jamais comblée
- découverte de «l’activité secrète» du conjoint
- influence négative du X qui donne des effets opposés dans la relation
Bien sûr, il y a d’autres raisons, mais l’ensemble de ces études vont toutes vers une augmentation.
On parle de divorce donc on s’en fout des célibataires j’ai envie de dire.
Ensuite l’étude précise à la fin que l’échantillon des personnes consommant à haute dose et ne se séparant pas est trop peu significatif pour y figurer.
Ce qu’il faut surtout retenir c’est que la pornographie est un facteur aggravant au divorce.
Rappelons aussi que l’addiction au porno est un motif pour faute au divorce dans les tribunaux...
Bien sûr il ne s’agit pas de dire que c’est pareil pour tout le monde mais de dégager une tendance. Et celle-ci est à 90% - 95% négative.
Il n’y a pas que la destruction de couple comme élément négatif (tu peux relire le reste au besoin).
Sur la partie psychologique le porno crée une addiction en augmentant nos sessions par la destruction de récepteurs de dopamines.
Elles créée aussi de l’anxiété (encore une autre étude).
Les circuits neuronaux liés à la sexualité sont forts et s’imprègnent facilement d’image et de souvenirs de stimuli.
Il faut arrêter de croire que notre vie et notre cerveau sont cloisonnés parce qu’on le voudrait : ce n’est pas le cas.
Le cerveau et la personne qui engrangent ces infos sont identiques à celle qui fera l’amour à sa conjointe le soir.
Et donc après avoir mangé du porno tout seul, au moment de l’intimité, les circuits sexualités s’activeront avec au passage ceux du pornos (car rangé là) et facilement réactivé car lié à une impression sexuelle forte sur le moment.
Et là au moment intime ces images et souvenirs tournent. Cela n’empêche pas des moments doux mais le film tourne quand même en tâche de fond.
La question qu’on pourrait se poser est : à qui fait-on l’amour à ce moment là ?
Pour la femme objet il ne s’agit pas de dire que c’est exclusif au porno mais sans dire que c’est bien ailleurs, on est pas au même niveau : une femme rabaissée à un objet sexuel est bien plus dégradant et indigne qu’une femme qui joue dans une pub, ça me paraît élémentaire.
Mais c’est typique d’une réthorique relativiste.
Pour le reste je n’ai pas compris où tu voulais en venir en me parlant de ça à moi alors que le sujet n’a jamais été abordé en terme religieux.
Je pense que tu es un addict qui s’ignore (je peux bien sûr me tromper) vu la véhémence avec laquelle tu défends «le porno célavi». Je serais très curieux de connaître ta fréquence de consommation et de savoir si tu pouvais ne pas en regarder pendant 1 ans, cela répondrait à la question.
Edit @Wyoui : Tu confonds dégradant et pénible. Un métier pénible n’est pas forcément dégradant (caissière) et inversement.
Déjà parce que rien que pour la série la plus regardée, ce n’est pas que ça non plus et un tri est donc possible, ensuite parce que les autres exemples sont suggérés et que le poids des images n’est donc pas le même que des sites X centrés exclusivement là dessus.
Enfin le critère de l’intention diffère aussi : je ne regarde pas Game Of Thrones pour ça, par contre les films X...
Pour le second point bien sûr que les deux sont réduits à l’état d’objet, mais la femme encore plus que l’homme et je ne dis pas ça par effet de mode.
C’est la femme qui est prise par plusieurs gars en moyenne et pas l’inverse. Comme par hasard le nombre de scandales est plus élevé chez les femmes aussi. Pas un hasard non plus à mon avis. Beaucoup abusent d’une certaine forme de naïveté chez des nouvelles recrues aussi...
Le fait que ces pratiques soient courantes et que tu n’aies pas l’impression de rabaisser ta conjointe ne les rends pas moins dégradantes. C’est contredit par la définition même de l’acte de soumission. Si de telles pratiques ne te choquent pas, je comprends mieux en effet pourquoi le X ne te dérange pas plus que ça...
Le fait que tu aies des femmes qui aiment ça ne change strictement rien à la vision déplorable que cela transmet.
Beaucoup de jeunes qui n’ont pas toujours eu la chance d’avoir une éducation encadrée vont vraiment penser que la femme c’est ça (jeunes des cités).
@Meffisto : Je t’assure, tu te trompes.
Déjà parce «qu’une telle à dit» n’en fait pas une vérité même si elle est sincère je n’en doute pas. Ça, c’est ce que la société veut nous faire croire et je peux t’assurer que la soit disante inévitable et insurmontable frustration liée à l’absence de relations sexuelles est un mensonge. J’en suis la preuve vivante... Et je suis loin d’être seul...
Cela n’est pas qu’une question de frigidité.
Après il ne s’agit pas de dire que le couple ne doit pas avoir de relations mais que cela n’est pas tout. C’est une question d’éducation mais aussi de la place de l’amour dans le couple par rapport à la sexualité et que cela ne doit pas se faire au détriment de l’amour et si c’est le cas alors on pourra s’interroger sur la nature de cette union. Des couples qui ne sont pas infidèles et qui ont des relations sexuelles «moindres» il y en a de manière représentative dans la population.
@grigri : C’est NeoBob qui a évoqué cette comparaison. Je n’ai fait qu’y répondre.
Les 2 peuvent avoir des conséquences similaires oui. Mais la nature et l’usage rendent cette comparaison peu pertinente à mon sens.
Un usage modéré de l’alcool (1 ou 2 verres de vins par jour) peut-être bénéfique pour la santé et rentrer dans une hygiène de vie. Il s’agit aussi d’une boisson qui comble un besoin primaire, rappelons le.
À valeur égale pour du X, on est dans un usage purement accessoire qui peut avoir un impact psychologique de manière direct que ne présente pas l’alcool. Rappelons que ces images nous marquent intérieurement, de manière inconsciente et négativement ce que ne fait pas l’alcool puisque cela n’émet pas d’image : à petite dose donc l’impact n’est pas le même.
Pour l’alcool, tu serais surpris qu’une étude montre que l’impact est nul dans les divorces lorsque les 2 conjoints boivent :
Dommage que tu n’aies pas lu l’ensemble. La dernière étude à plus de sens à la lumière des autres car elles se complètent.
À la page 3 le rapport se réfère à des études déjà établies qui vont sur 30 ans expliquant plusieurs causes possibles :
- baisse de qualité des rapports suite à une attente jamais comblée
- découverte de «l’activité secrète» du conjoint
- influence négative du X qui donne des effets opposés dans la relation
Bien sûr, il y a d’autres raisons, mais l’ensemble de ces études vont toutes vers une augmentation.
On parle de divorce donc on s’en fout des célibataires j’ai envie de dire.
Ensuite l’étude précise à la fin que l’échantillon des personnes consommant à haute dose et ne se séparant pas est trop peu significatif pour y figurer.
Ce qu’il faut surtout retenir c’est que la pornographie est un facteur aggravant au divorce.
Rappelons aussi que l’addiction au porno est un motif pour faute au divorce dans les tribunaux...
Bien sûr il ne s’agit pas de dire que c’est pareil pour tout le monde mais de dégager une tendance. Et celle-ci est à 90% - 95% négative.
Il n’y a pas que la destruction de couple comme élément négatif (tu peux relire le reste au besoin).
Sur la partie psychologique le porno crée une addiction en augmentant nos sessions par la destruction de récepteurs de dopamines.
Elles créée aussi de l’anxiété (encore une autre étude).
Les circuits neuronaux liés à la sexualité sont forts et s’imprègnent facilement d’image et de souvenirs de stimuli.
Il faut arrêter de croire que notre vie et notre cerveau sont cloisonnés parce qu’on le voudrait : ce n’est pas le cas.
Le cerveau et la personne qui engrangent ces infos sont identiques à celle qui fera l’amour à sa conjointe le soir.
Et donc après avoir mangé du porno tout seul, au moment de l’intimité, les circuits sexualités s’activeront avec au passage ceux du pornos (car rangé là) et facilement réactivé car lié à une impression sexuelle forte sur le moment.
Et là au moment intime ces images et souvenirs tournent. Cela n’empêche pas des moments doux mais le film tourne quand même en tâche de fond.
La question qu’on pourrait se poser est : à qui fait-on l’amour à ce moment là ?
Pour la femme objet il ne s’agit pas de dire que c’est exclusif au porno mais sans dire que c’est bien ailleurs, on est pas au même niveau : une femme rabaissée à un objet sexuel est bien plus dégradant et indigne qu’une femme qui joue dans une pub, ça me paraît élémentaire.
Mais c’est typique d’une réthorique relativiste.
Pour le reste je n’ai pas compris où tu voulais en venir en me parlant de ça à moi alors que le sujet n’a jamais été abordé en terme religieux.
Je pense que tu es un addict qui s’ignore (je peux bien sûr me tromper) vu la véhémence avec laquelle tu défends «le porno célavi». Je serais très curieux de connaître ta fréquence de consommation et de savoir si tu pouvais ne pas en regarder pendant 1 ans, cela répondrait à la question.
Edit @Wyoui : Tu confonds dégradant et pénible. Un métier pénible n’est pas forcément dégradant (caissière) et inversement.
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