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  • Envoyé par shupmaster
    oui m'sieur


    Merci Twilight
    C'est plus que mérité, à la limite de l'incroyable avec ce jeu

    Ca me donne trop envie de repartir sur du 1cc NEO

    Ta prochaine victime ce sera quel jeu ?
    Dernière modification par Twilight_Guardian, 11 avril 2021, 15h16.

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    • Envoyé par Twilight_Guardian

      Ca me donne trop envie de repartir sur du 1cc NEO
      Pareil, mon dernier 1cc en date c'était KoF2000 au niveau 8 mais c'est le plus facile des KoF avec ses strikers pétés XD.

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      • Dur de trouver le temps de faire tout ce qu'on voudrait en plus.

        Je me demande comment je faisais avant pour être focalisé

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        • Immortals Fenyx Rising: DLC Mythes de l'Empire Céleste (PS5) 11/04/2021
          Ca se finit en 5h, bien trop court, et encore j'ai cherché un peu partout...comptez 10h max pour tout faire, bref j'avais pris le saosn pass sinon 15€ ca fait un peu chéro pour le contenu...pour ce qui reste un bon jeu,mais en soi c'est juste une "asian skin" du jeu original, rien de bien nouveau.
          La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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          • Ushio to Tora (SFC) 09.04.21

            Tiré d'un shōnen (qui donnera suite à plusieurs anime), Ushio to Tora est un jeu d'action tout ce qu'il y a de plus classique. On peut incarner au choix 2 persos comme le suggère le titre en japonais: Ushio, un garçon dont le père est prêtre dans un temple; et Tora, une sorte de démon à tête de tigre que Ushio libèrera de sa grotte par accident dans le manga.
            Ushio attaque avec une lance, ses coups sont relativement faibles mais il est très rapide. Tandis que Tora fait beaucoup plus mal avec ses griffes acérées, il peut également sauter beaucoup plus haut mais se déplace légèrement plus lentement. Il m'a semblé en tout cas plus intéressant à jouer, pour avoir testé les 2.
            Le gameplay est très basique avec une panoplie de coups assez limitée. Les items se font rare également, seulement de la nourriture pour refaire le plein de santé (sous forme d'onigiri pour Ushio et de hamburger pour Tora) et des gemmes qui permettent d'augmenter la taille de votre barre de vie.
            Le jeu s'apparente vraiment à un boss rush et manque cruellement de variété... Franchement, on s'ennuie ferme ! 1 ou 2 stages sortent quand même du lot, notamment celui dans lequel on est coincé dans un avion et où on doit dégommer les mains vertes d'un alien qui essaient de vous attraper à travers les hublots, avant d'aller affronter ce même alien au somment de la carlingue...
            Les hitboxes m'ont paru assez douteuses, et les ennemis se déplacent très rapidement à l'écran, si bien qu'on a souvent la désagréable impression de frapper dans le vent... Frustrant au possible !
            Malgré sa dizaine de niveaux, Ushio to Tora est très court. Il faut dire que chaque stage est précédé d'une cut-scene relativement longue...En bref, un titre totalement dispensable, à moins d'être un fan invétéré du manga ou de l'anime !

            Note: 11.5/20


            Dino Wars (SFC) 11.04.21

            Encore une adaptation, mais cette fois-ci tirée d'un film (Adventures in Dinosaur City) sorti directement en vidéo. Sans doute un chef-d'œuvre !
            Plus connu sous le nom de Dino City dans nos contrées, c'est Irem qui est aux commandes de ce jeu de plateformes plutôt sympathique et bien réalisé.
            On dirige un dinosaure sur lequel est juché un enfant, qui a la possibilité de quitter sa monture pour se déplacer dans les environs (un peu à la manière du combo Mario/Yoshi dans Super Mario World, sauf que l'on ne peut pas s'éloigner trop de sa monture dans Dino Wars). Etant plus petit (mais en contrepartie moins puissant), le petit bonhomme peut accéder à des zones en hauteur ou trop étroites pour le saurien. Le level design exploite cette mécanique de gameplay, mais pas suffisamment à mon goût.
            A noter que l'ont peut choisir parmi 2 "couples" : un petit garçon et son dino vert (qui distribue des coups de poing), ou bien une fillette et son dino violet (qui envoie de projectiles).
            L'univers rappelle un peu celui de Joe & Mac, avec des hommes des cavernes, des ptérodactyles, etc., l'aspect humoristique en moins. Les stages sont très colorés (avec pour certains de jolies transitions jour-nuit) mais manquent de cohérence et sans une réelle charte graphique clairement établie... Ca a un peu tendance à partir dans tous les sens, sans une ligne directrice !
            A chaque fin de stage, vous trouverez 2 portes marquant la fin du niveau, l'une (plus difficile d'accès) vous donnant accès à un bonus stage histoire de refaire le plein de cœurs de vie et de one-up.
            Le level-design des niveaux est assez plaisant et les stages s'enchainent bien, jusqu'à ce que l'on se rende compte que qu'ils reprennent systématiquement les mêmes idées de gameplay... Ils ont donc une fâcheuse tendance à se ressembler : espèce de montagne russe où il faut passer de wagon en wagon; stage aquatique sur une sorte de mini hors-bord; roue en mouvement (ce qui engendre de gros ralentissements à l'écran) sur laquelle il faut vous déplacer en permanence; dinosaure aquatique mobile faisant office de plateforme, etc etc. Vous aurez le droit par exemple au moins 3 fois dans le jeu à la montagne russe... Heureusement les boss sont pour la plupart assez intéressants.
            Concernant la difficulté, il s'agit d'un pur die & retry à l'ancienne. Il faudra composer avec des sauts pas toujours très précis. Par contre, le jeu est assez généreux en cœurs supplémentaires et one-up, et les continues sont illimités. A privilégier dans sa version jap car pour les versions occidentales, la difficulté a été revue artificiellement à la hausse !

            Note : 15/20


            Nangoku Shounen Papuwa-kun (SFC) 11.04.21

            On termine avec une autre adaptation (shōnen/anime) sortie en 1994, et une curiosité typiquement japonaise made by Enix !
            On incarne un perso secondaire, Shintaro, aux relents de Jackie Chan, avec une palette de coups digne d'un maître de kung-fu: coup de poing, coup de pied sauté ou plongeant, glissades (avec les gachettes L & R), voire même un pseudo kamehaha (dispo en nombre limité). L'action se déroule sur une île paradisiaque mais les environnements deviennent assez rapidement variés. Les PNJ tirés du manga sont totalement barrés, dans le plus pur délire japonais : poisson avec 2 jambes en bas résille, escargot efféminé, etc. Les ennemis sont du même acabit : parapluie unijambiste, moine shinto jedi, cochon qui barbotte dans sa soucoupe volante/bouillon de légumes et qui vous envoie des missiles sous formes de bottes de poireaux… Bref, pas étonnant que le jeu n'ait jamais vu le jour en Occident ! L'univers me rappelle quelques productions de Konami, la saga des Goemon ou des Parodius notamment.
            Graphiquement, le titre tient vraiment la route. C'est très propre et hyper coloré, avec quelques jolis effets de transparence. Les sprites (notamment celui de Shintaro) sont petits mais on s'y fait rapidement. Les musiques collent bien avec l'esprit du jeu, elles s'avèrent pour la plupart totalement loufoques !
            Principale spécificité de cette action-platformer, on accumule des points d'XP en tuant les ennemis. En montant de level (5 au total), notre barre de vie s'étoffe et nos coups gagnent en puissance. Dommage par contre qu'en utilisant un continue, on retombe au level de base... Choix curieux et discutable, d'autant plus que le boss de fin de jeu est assez retord... Niveau durée de vie, le titre est long, comptez une grosse heure pour venir à bout des 8 mondes (qui se décomposent en général en 2-3 niveaux).
            En conclusion, une découverte assez sympathique avec un joli enrobage, même si le gameplay s'avère vraiment très classique au final.

            Note: 15.5/20

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            • Mise à jour.

              J'ai fini Natsuki Chronicles sur PS4, un shmup horizontal créé par Qute, à qui l'on devait déjà les excellents Eschatos ou Ginga Force sur Xbox 360.
              On retrouve immédiatement leur "touche", même si on est plus habitué à leurs productions verticales. Le jeu ne manque pas de punch, comme toujours avec eux.
              Au menu un mode histoire, qui sépare chaque stage autour d'un scénario où l'héroïne réalise assez rapidement qu'elle n'est pas vraiment dans le camp des gentils. Trois stages d'entrainements plus dix stages à proprement parler composent l'ensemble de la trame. Comme bien souvent dans ce genre de shmup à stages séparés, on se retrouve face au problème de la mauvaise arme choisie, ou pas assez améliorée, ce qui occasionnera des parties éprouvantes voire vouées à l'échec jusqu'à ce qu'on ait assez de monnaie pour régler le problème. On gagne également de l'expérience (qui sert à débloquer des armes principalement) ainsi qu'une étude du stage, qui permet à chaque palier d'obtenir un bouclier supplémentaire.
              En revanche, initiative bien trop rare, pour ne pas dire inexistante, on nous propose un mode arcade qui permettra d'enchaîner "tous" les stages d'une traite ; je mets des guillemets car on saute les stages d'entraînement, ainsi que le stage 7 mais bon, cela laisse malgré tout neuf stages à enquiller, en pratiquement 40 minutes, donc largement suffisant. Je regrette juste que dans ce mode, on n'ait pas de sélection de type d'arme. On devra ramasser ce qu'on trouve au cours des stages, et comme dans de nombreux shmups, (ne pas) avoir une certaine arme à tel ou tel endroit peut signifier de gros ennuis. J'aurais vraiment préféré un choix en début de partie et simplement des power ups. Mais encore une fois je salue l'initiative. Faut que je me repenche sur ce mode pour le "one créditer". C'est dans mes cordes puisque je torche presque tous les stages en mode extrême (du mode histoire), mais je ne perds pas de vue que c'est parce que j'ai les tirs principaux/secondaires/spéciaux qui me conviennent le plus.
              Il me reste surtout à "farmer" suffisamment de crédits pour acheter toutes les armes. Ils ont exagéré le prix de certaines...

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              • 15/04/2021 Bioshock collection, bioshock infinite , DLC "Tombeau sous-marin" Partie 2 (Xbox One).
                Finit dans le mode de difficulté maximal, en mode spécial "1998".

                Bon, ça y est, je suis allez au bout des DLC de la série Bioshock. Infinite poursuit la logique des premiers bioshock: les nouveau épisode peuvent être considérer comme des défouloir (ou des fantasme) des précédent, ici matérialisé par La possibilité d'incarner Elisabeth comme héroïne du jeu, après l'avoir eu dans les patte comme acolyte dans Infinite.

                Quelques jolie décors, une aventure pas trop courte, et une surprise: un mode de jeux sélectionnable au début de l'aventure nommé "1998"; Dans ce mode, nous n'avons accès à AUCUNE arme létal. On peut seulement assommer certains ennemis à main nue ( ils dorme ad vitam) en les surprenant par derrière, ou les endormir avec des fléchettes tranquillisante. Mais dés qu'un ennemis s’aperçoit de notre présence, on ne peut plus l’assommer. il faut fuir, et revenir plus tard. Le jeu prend donc des allure de sous (sous, sous...) Metal gear Solid. Vos plasmide peuvent vous permettre de distraire des ennemis, et des munitions alternative vous offre différentes stratégie. Mais même si vous déclencher l'alarme, les ennemis ne vous poursuive guère plus d'une pièce ou deux de celle d'où ils viennent, et finissent toujours pas y retourner. Avec un peut de patience, le jeu n'a donc rien de difficile. Mais il ne faut pas faire le malin pour autant: la jauge de vie baisse comme neige au soleil quand les ennemis nous tombe dessus, et les points de sauvegarde automatique sont relativement rare. Une astuce consiste à assommer tout les gardes d'une zone, enclenchant une sauvegarde automatique pour nous récompenser.

                Si l'idée était bonne, sont exécution se révèlent décevante: C'est marrant cinq minute de crapahuté de conduit d'aération en conduit d'aération, d’assommer tout ce qui bouge, d'explorer des parties inconnu de Rapture et de comprendre un peu mieux l'envers du décors ayant permis à cette univers d'exister. Mais on se lasse vite. Ont fait tout le temps la même chose, les armes ne varies pas ou si peux, et le scénario ne me convainc toujours pas... Même si ce dernier a au moins l'élégance de nous faire retomber sur nos patte et de boucler avec le scénario du 1... D'une façon je trouve maladroite et hâtive, mais passons.

                Je suis (presque) curieux de refaire le DLC dans le mode de jeux permettant les armes, histoires de se défouler un peu. Mais pas sur que j'y reviennent. Adieu bioshock infinite, je te regretterais pas, malgré quelques bon moment.
                Dernière modification par megaman, 15 avril 2021, 02h14.

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                • Envoyé par megaman
                  15/04/2021 Bioshock collection, bioshock infinite , DLC "Tombeau sous-marin" Partie 2 (Xbox One).
                  Un DLC ça compte pour 1 Finish??

                  Commentaire


                  • Non, il essaie juste de gratter un finish

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                    • Mise à jour pour megaman.

                      Et si messieurs, les DLC comptent, du moment qu'il ne s'agit pas de trucs bidons genre nouveaux costumes ou packs d'armes pour un mode multi par exemple.

                      Tout ce qui est chapitre supplémentaire est parfaitement valide.

                      J'ai fini KoF '99 sur PS4.
                      Un épisode que je n'ai jamais tellement apprécié, parce que le système de striker n'était pas vraiment au point, parce que la roulade arrière est trop bizarre, parce que le coup des clones de Kyô c'est quand même bidon (que ce soit dans le scénario ou pour les deux versions jouables proposées).
                      Mais le jeu est malgré tout magnifique, c'est le début de l'arc Nests que j'aime assez, et l'arrivée de K', un personnage que j'utiliserai quasiment tout le temps à partir de là.

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                      • Envoyé par Raphoon
                        Pareil, mon dernier 1cc en date c'était KoF2000 au niveau 8 mais c'est le plus facile des KoF avec ses strikers pétés XD.
                        Je confirme. Après plus de 20 ans de KOF, c'est bien le seul que je termine tranquillement en niveau élevé.
                        Docteur Agrégé Neo-Geo

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                        • Envoyé par LCS
                          Non, il essaie juste de gratter un finish

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                          • En parlant de gratter des finish, il y a a des joueurs d'xbox One dans la salle? J'ai eu des soucis avec la box internet auquel la xbox one est brancher. Du coup j'ai jouer tout un moment en "offline". j'ai fini un jeu, et aucun de succès ne s'est déclencher C'est normal? Je doit faire une croix dessus?

                            Merci de vos retour!

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                            • En principe les succès/trophées ne nécessitent pas de connexion (hormis si c'est lié à un mode en ligne bien entendu).
                              Le seul moment où la connexion est requise, c'est quand tu veux synchroniser ces succès/trophées pour mettre à jour ton "palmarès" en la matière en ligne.

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                              • Mise à jour.

                                J'ai fini Tengai Makyô: Daiyon no Mokushiroku sur Saturn.
                                Presque 11 ans après ma dernière partie sur PSP, je suis retourné sur cette version originale.
                                J'adore toujours autant ce RPG qui n'a pour ainsi dire aucun défaut pour moi :
                                - très bien réalisé, que ce soient les combats, les dessins-animés, la bande-son
                                - très agréable à jouer : on n'est jamais perdu dans des sous-quêtes à deux balles puisqu'il n'y en a pas. Les combats sont équilibrés et ne proposent pas de superflu
                                - la durée de vie, sous la barre des 30 heures, et ce sans temps mort
                                - les personnages tous intéressants et hauts en couleur, que ce soient les héros comme les bosses
                                - l'humour omniprésent, qui arrive à cohabiter avec des passages limite gores (je ne me souvenais pas que le jeu était aussi sanglant par moments).

                                On pourra toujours regretter qu'il n'ait jamais été adapté ne serait-ce qu'en anglais, même si là en y rejouant, je me suis dit que de nombreux jeux de mots seraient complexes à transposer.

                                Vraiment un incontournable de la Saturn déjà, mais des RPG dans leur globalité.

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